Benjamin Akl
Psychothérapie
Adultes & Adolescents
@akltherapeute
Epidémie de la peur et angoisse existentielle
Dans une société où l’individualisme est prédominant, le virus renforce les liens fragiles du collectif : distanciation, incivilité, colère…
Dans un monde où le narcissisme est valorisé, les avancées technologiques ne cessent d’évoluer vers la quête d’un « idéal » qui a pour but de déjouer notre condition humaine.
C’est précisement ce syndrome d’hyper-contrôle que cette menace imprévisible vient fragiliser, renvoyant chacun à l’angoisse existentielle de mort que nous fuyons constamment.
Forcement, lorsqu’un danger échappe à notre contrôle, il en résulte certaines conduites adaptatives : stress, angoisses, hypervigilance, dépression, paranoïa, hypocondrie…
Et si cette situation nous invitait à regarder là où est l’essentiel ?
Et si c’était l’occasion pour tous de se rencontrer profond-aimant ?
« Les psys c’est pour les fous »
Travaillant avec la psyché humaine et considérant un milieu socio culturel constamment en mouvement, les métiers de la psychothérapie s’ajustent et évoluent au regard du monde.
Il existe certains préjugés au regard de la psychothérapie :
" C’est long - C’est cher - Un psy ne parle pas - Il faut être malade …"
Parlons-en :
©Johnson Tsang
« Un Je de représentation »
« Le masque social représente le visage que nous montrons aux autres. Il nous aide à nous identifier et nous permet de vivre en société.
Malheureusement, de nombreuses personnes laissent leur masque prendre le pouvoir sur leur personnalité réelle. Elles ne sont plus alors que des coquilles vides et perdent sans s'en rendre compte leur liberté de décision. Elles sont à la merci des modes, des mots d'ordre et des normes dictées par leur milieu. Leur seul souci est de garder intact le portrait qu'elles offrent aux autres. Elles établissent avec autrui des relations qui sont basées sur le statut ou sur la hiérarchie, plutôt que des échanges de personne à personne. »
Daniel Cordonier, « Le pouvoir du miroir »
« Le masque tombe, l'homme reste, et le héros s'évanouit. » Gainsbourg